L'appropriation du patrimoine et titrisation

Cet article explique la série de transactions et d'événements qui composent l'appropriation du patrimoine par laquelle l'Etat ou les gouvernements convertissent la naissance d'un enfant en un actif financier pour souscrire à la dette publique et à l'émission de devises sans substance. En 1933, l'Etat américain a confisqué au peuple l'or qui a une vraie valeur et qui est une vraie monnaie. L'État a substitué un système financier artificiel sur papier qui utilise des reconnaissances de dettes ou simplement des notes promissoires, ce que l'on appelle l'argent sous forme de billets de dettes. Nous sommes amenés à croire que nous payons avec de l'argent, mais tout cela est de la fausse monnaie.

En guise de révélation fondamentale, les États et / ou les gouvernements sont enregistrés en tant que corporations pour faire du commerce. L'ensemble du système est gouverné par les banques et / ou les fiduciaires qui s'approprient notre sécurité (patrimoine) de plus de manières que nous ne pouvons l'imaginer. Le code commercial uniforme UCC est l'ensemble des règles qui ont été adoptées par les États-Unis et par leurs pays partenaires commerciaux sous d'autres noms de lois.

P.S. Le Canada a signé de nombreuses conventions, documents et traités internationaux relatifs aux droits de la personne tels Le Pacte International des Droits Civils et Politiques, les Droits Universels de l'Homme, etc.

1) À la naissance ou peu de temps après, un Enregistrement de Naissance à l'Hôpital (ENH) est créé qui contient les informations de naissance telles que le nom des parents, la date de naissance, le lieu de naissance, etc. Cet enregistrement est fait par les parents ou des préposés de l'hôpital en remplissant des formulaires de l'État dont le formulaire D. Ils agissent comme déclarants et ou représentants du registraire de l'État.

2) Le Registraire du comté enregistre les informations en ouvrant un compte pour créer un document officiel de l'Etat; l'Acte de Naissance (AN). L'Acte de Naissance avec le(s) prénom(s) et nom(s) de l'enfant reçoit un numéro qui devient le document original utilisé comme compte principal de l'enfant, comme sécurité principale et source de crédit principale, son patrimoine.

3) Une entité artificielle est créée appelée l'homme de paille (Strawman) portant le nom de l'enfant en lettres majuscules et le nom inscrit au AN. L'écriture en lettres majuscules n'est pas un langage conforme appelé latin de cuisine (dog-latin). Cette entité artificielle est alors créée pour permettre à l'individu d'interagir avec le système légal totalement fictif où les êtres vivants réels jouent un rôle fictif. L'homme de paille est créé pour agir en commerce, pour assumer les dettes de l'État et les siennes et pour remplacer l'être humain en lui enlevant ses droits inaliénables.

4) Cet ENH et / ou l'Acte est déposé en tant que dépôt général afin que l'Etat s'approprie le titre légal de ce dépôt. En d'autres termes, l'État s'approprie l'Acte de Naissance et sa valeur. La valeur de ce dépôt est évaluée par des actuaires et/ou des tables actuarielles comme la valeur future du travail de l'enfant pendant toute sa vie. Sans le savoir, en tant que constituant, la mère ou le père transfère un gage de la valeur monétaire future de son enfant à l'État. Le gage sert à couvrir sa part de la dette publique créée par l'État déjà en faillite. L'ENH original est conservé dans un coffre-fort pour sa sauvegarde.

5) Un Patrimoine Publique résulte de ce dépôt et ce patrimoine publique est la caution ou sécurité de toutes les dettes de l'enfant. En d'autres termes, ce patrimoine est la source du crédit (titre-sécurité) qui est créé à partir du gage qui pourrait s'élever à des millions de dollars. On l'appelle un titre car il s'agit d'un actif financier destiné à garantir les besoins futurs de l'enfant, la sureté de sa personne. L'article 1 de la Charte des Droits et Libertés confirme cette sureté.

6) Une Obligation (titre de créances) de naissance est émise pour la valeur du gage comme premier instrument de sécurité. Une obligation est un instrument financier dont la valeur du gage est empruntée au patrimoine public (titre-sécurité) et négociée en espèces.

7) Un certificat de naissance est émis comme reçu pour confirmer le dépôt de la valeur sur le compte de l'enfant. Le titulaire du certificat de naissance est considéré comme le fiduciaire responsable de toutes les dettes liées au compte, ce qui constitue un piège pour l'être vivant car ce dernier est légitimement le bénéficiaire en équité.

8) Une fiducie ou trust est donc automatiquement et naturellement créée par ce dépôt car il y a eu un échange inégal de valeur entre le constituant (mère ou père) et l'Etat (fiduciaire) qui gère ce système. Le constituant ne reçoit rien en échange sauf des privilèges conditionnels à son obéissance mais l'Etat reçoit un actif monétaire qui est déposé sur un compte sous le contrôle de l'Etat. C'est la fiducie ou trust du patrimoine public dont l'État est initialement le fiduciaire mais qui réussit à nous convaincre d'agir comme le fiduciaire.

9) Le Conseil du Trésor est informé du dépôt et ouvre un compte au nom et au numéro de l'Acte de Naissance de l'enfant. Un compte avec un numéro d'assurance sociale est aussi ouvert pour recouvrer les dettes liées au compte principal.

10) L'Acte de Naissance est déposé dans la Trésorie. L'Obligation (bond) de naissance est échangée contre de la monnaie avec la Banque du Canada. En d'autres termes, la valeur de l'obligation est échangée contre de l'argent en dollars canadiens. La Banque du Canada imprime l'argent et/ou inscrit cet argent comme un actif dans son compte. Cet argent est mis en circulation. Une part peut être prêtée à des agences gouvernementales pour leurs opérations.

11) L'obligation est déposée auprès de la Depository Trust Company DTC. DTC est un intermédiaire autorisé international pour des transactions additionnelles de la valeur de cette obligation sur les marchées financiers.

12) Tous les Titres du bénéficiaire sont commercialisés sur le Marché Financier à son insu. Le Code de commerce uniforme UCC précise que le véritable bénéficiaire des titres n'est pas informé des opérations par la DTC. Ni le bénéficiaire ni les parents ne sont informés de rien ni que l'Etat est le fiduciaire du compte de l'enfant qui est mineur jusqu'à l'âge de 18 ans. En fait, l'enfant est considéré comme la propriété de l'État qui est fiduciaire chargé de la propriété de la fiducie ou trust.

13) A 18 ans, il a le droit de réclamer ses titres et sécurité mais par ignorance institutionnalisée, il néglige de revendiquer ses droits à sa sécurité. A 18 ans, l'individu a été induit à assumer le rôle de fiduciaire du compte en signant des documents au nom de l'homme de paille. Quand il accepte de répondre pour ce nom légal avec l'État, il accepte de payer les dettes comme fiduciaire et d'obéir à toutes les règles statutaires. Il est alors présumé être le fiduciaire de sa fiducie et responsable de toutes les dettes. De bénéficiaire et de créancier, l'individu devient le débiteur. L'État devient le bénéficiaire.

14) A l'âge de 25 ans, suite à son inaction à réclamer ses droits, il est alors considéré non seulement comme mineur ou incompétent et mais comme mort, perdu en mer. Ainsi, après l'âge de 25 ans, l'individu perd sa capacité de réclamer directement ses droits en raison de son abandon apparent de ses titres. Il est établi qu'un homme est assumé mort après une absence de 7 années.

15) Selon la loi Cestui Que de 1666, si l'individu disparu revient, il peut récupérer ses biens. Cependant, selon des informations actuelles, en raison de l'abandon apparent de ses titres, l'individu ne peut pas revendiquer directement ses droits en tant qu'être humain vivant dans un système entièrement fictif. Après 25 ans, il doit agir par une autre entité fictive telle une fiducie ou trust.

16) Dans le cas d'un individu immigrant au Canada, il reçoit un certificat d'immigration pour confirmer qu'il est un citoyen canadien avec tous les bénéfices d'un Canadien naturel et avec toutes les dettes. Nous pouvons appliquer la même appropriation sauf que le nouvel immigrant est comme un nouvel homme de paille pour le Canada. Nous pouvons également supposer que le certificat d'immigration est comme un certificat de naissance qui représente un reçu d'un dépôt général d'une valeur. Tout comme le lien de naissance, la valeur peut être établie comme un futur titre représentant la valeur de la vie de l'individu.

17) Cette appropriation se fait continuellement tout au long de la vie de l'individu où il est redevable de toutes les dettes créées par l'État et par son utilisation des biens et services alors que tous ces frais seraient acquittés directement de son patrimoine s'il réclamait sa sécurité en tant que bénéficiaire à l'âge approprié. L'État est en faillite et gère un système inefficace très coûteux qui nécessite du crédit sur notre compte de patrimoine.

18) Par exemple, dans le système judiciaire, lorsqu'un acte d'accusation est rédigé contre le nom d'un homme de paille (Strawman), le système cherche à obtenir des crédits pour ses coûts d'opération. Le navire (corps) de l'homme de paille (Strawman) est capturé pour une rançon. Il s'agit d'une procédure légale pour imputer à la garantie un montant à transférer à l'État par le biais d'un échange de titres. Lorsque l'individu se présente en tant que l'homme de paille (Strawman) au tribunal, il accepte sans le savoir par défaut d'endosser les garanties de l'acte d'accusation. En d'autres termes, la présence même de l'individu constitue une signature du chèque écrit par l'Etat à lui-même. Il accomplit une acceptation du banquier (l'individu), permettant au système judiciaire de piller son patrimoine (sécurité) d'un montant important à son insu.

19) Par exemple, lorsqu'un individu est arrêté par un flic pour excès de vitesse, son homme de paille (Strawman) est invité à payer une amende pour permettre à l'État d'obtenir des crédits. L'homme de paille est obligé d'obéir ces règles statutaires et est pénalisé pour ses infractions. Comme fiduciaire, l'individu est obligé de payer la dette que le flic vient de créer pour l'homme de paille (Strawman). Là encore, l'État a besoin du crédit pour alimenter le système coûteux qu'il gère et de payer de généreux salaires aux agents qui le supporte.

20) Par exemple, lorsqu'un particulier se rend à la banque pour un prêt, on lui demande de remplir un billet à ordre (un contrat) comme un chèque tiré sur son compte de patrimoine. Ce billet est en fait un chèque (un crédit) de son patrimoine que la banque dépose immédiatement en liquide. Il s'agit d'un instrument de sécurité qui appartient à l'individu mais par son ignorance, il abandonne sa sécurité (argent liquide, actif) et croit que la banque lui prêtera l'argent existant de sa propre réserve. En fait, la banque lui prête son propre crédit. L'individu accepte de rembourser le prêt avec intérêts à la banque par son travail. De l'autre côté, la banque vend ce billet à des investisseurs sur le marché financier (appelé titrisation) et génère des profits additionnels.

Titrisation: La titrisation (securitization en anglais) est une technique financière qui consiste à transférer à des investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des prêts en cours), en les transformant, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur le marché des capitaux.

Texte d'une source inconnue traduit et complété par Yacob Yosef 20 mai 2023

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